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- Nom Commun - DROIT-Justice et Législation | POLITIQUE-Etat et Gouvernement | SOCIÉTÉ-Travail et Métiers - Position médiale - Emprunt - 18/10/2016 - Le Monde - LE MONDE.FR AVEC AFP - Lien -
Contexte : "IVG , minijobs , HLM : un « cabinet de curiosités » "


- Nom Commun - SOCIÉTÉ-Travail et Métiers | DROIT-Justice et Législation | SANTÉ-Médecine - Position médiale - Emprunt - 24/01/2017 - Le Figaro - MANON MALHÈRE - Lien -
Contexte : "« l' homme malade de l' Europe » dans les années 2000 . Il n' y a pas de recette miracle . Si l' Allemagne a réussi à dépasser la crise financière de 2008 , c' est grâce aux massives réformes du travail entreprises sous le chancelier Gerhard Schröder ( 1998-2005 ) et qui produisent toujours leurs effets . Avec les fameuses « lois Hartz » , le gouvernement Schröder a ainsi durci les règles encadrant la durée d' indemnisation en cas de licenciement , qui est passée de 32 à 12 mois . Autre mesure controversée : des « minijobs » , peu payés et avec de faibles charges sociales , ont été créés pour inciter les chômeurs à retourner sur le marché du travail . "


- Nom Commun - SOCIÉTÉ-Travail et Métiers | ÉCONOMIE-Finance | ÉCONOMIE-Industrie - Position finale - Emprunt - 06/09/2017 - Les Echos - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "Au total , Destatis compte 2 , 8 millions de postes en contrat à durée déterminée , portant à 7 , 7 millions le nombre d' emplois dits « atypiques » , incluant également les intérimaires , les temps partiels ou les « minijobs » . Selon l' office , la part des emplois atypiques est stable depuis trois ans . "


- Nom Commun - ÉCONOMIE-Finance | ÉCONOMIE-Commerce | SOCIÉTÉ-Travail et Métiers - Position médiale - Emprunt - 24/09/2017 - Les Echos - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "Il faut d'abord que l' on soit d'accord sur ce que l' on entend par « modèle allemand » . Pour moi , il a vu le jour quelques années après la réunification allemande , en 1995 , lorsque le gouvernement et les syndicats ont été amenés à réformer les lois sur le marché du travail , bien avant les lois Hartz qui ont introduit les minijobs et réduit la durée d' indemnisation des chômeurs . Il faut se souvenir que l' unification du pays avait généré l' équivalent de 900 milliards d' euros de transferts vers l' Est du fait d' un chômage élevé . Les syndicats ont alors accepté de décentraliser au niveau des entreprises les négociations sur les salaires . Depuis lors , ces derniers sont restés extraordinairement bas en Allemagne , ce que reconnaissent nombre d' économistes allemands . Comble de l' ironie , c' est le gouvernement de droite d' Angela Merkel qui a mis en place un salaire minimum en janvier"


- Nom Commun - ÉCONOMIE-Finance | ÉCONOMIE-Commerce | SOCIÉTÉ-Travail et Métiers - Position médiale - Emprunt - 24/09/2017 - Les Echos - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "Les minijobs , c' est aussi un moyen de garder un pied dans le marché du travail . Ils sont très décriés en France , mais n' est -ce pas un peu hypocrite ? Nous avons plus de jeunes en stage en France ( 2 millions ) que de jeunes en minijobs en Allemagne , et les rémunérations ne sont pas très éloignées ! Nous avons presque 2 millions de personnes allocataires du RSA socle , dont le retour à l' emploi est très difficile . Le système allemand crée les conditions d' un retour à l' emploi quelles que soient les"


- Nom Commun - ÉCONOMIE-Commerce | SOCIÉTÉ-Travail et Métiers | ÉCONOMIE-Finance - Position finale - Emprunt - 05/12/2017 - Les Echos - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "ne soit plus un frein à l' embauche . Il le demeure , bien sûr , mais pas parce que le SMIC est trop élevé : parce que le travail qu' il rémunère n' est pas assez qualifié . Cette sous-qualification du travail n' est pas seulement la conséquence générale de la tertiarisation de l' économie , qui entraîne le développement rapide d' emplois de service . Coursiers et livreurs viennent grossir les rangs des « smicards » , toujours formés en majorité de caissiers et de vendeurs . L' essor de ce que l' on appelle ailleurs des « minijobs » ne serait , après tout , pas un si grand problème , économique et social , si ceux -ci n' étaient qu' une première marche vers de meilleurs emplois , une étape accompagnée de formation qualifiante . Car le problème , avec le SMIC , n' est pas d' y être mais d' y rester . Mais le pire est que l' on ne discerne , ni chez les employeurs français en règle générale ni chez les salariés peu qualifiés eux-mêmes , une formidable appétence pour la formation . Or les écarts considérables de qualification des salariés français et"