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- Verbe - ÉCONOMIE-Finance | ÉCONOMIE-Industrie | ÉCONOMIE-Commerce - Position finale - Emprunt, Morphosémantique - 26/11/2015 - Les Echos - ALEXANDRE BARADEZ - Lien -
Contexte : "Le mois de décembre 2015 sera donc un mois « historique » avec deux interventions potentielles parfaitement divergentes . Les marchés « pricent » actuellement le scénario suivant : annonces fortes sur le QE et les taux de la BCE , hausse de taux de 0 , 25 % de la FED avec une communication accommodante sur le rythme des relèvements suivants . Si la réalité diverge du scénario anticipé , la volatilité pourrait s' inviter aux fêtes de fin d' année . "


- Verbe - ÉCONOMIE-Finance | ÉCONOMIE-Commerce | INTERNATIONAL-Europe - Position médiale - Emprunt, Morphosémantique - 09/12/2016 - La Tribune - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "Pourquoi cette défiance des investisseurs vis-à-vis de la dette française ? Trois raisons majeures . Tout d'abord l' absence de réforme structurelle . Contrairement à la plupart des pays européens . Nos indicateurs économiques toujours aussi médiocres que ce soit notre taux de chômage , notre balance commerciale , notre déficit budgétaire ou notre dette . Mais aussi la crainte des élections françaises . Suite à la victoire de Trump , au Brexit , au referendum Italien , les marchés pricent maintenant systématiquement ce qu' ils appellent la prime de risque populiste , c'est-à-dire la victoire d' un candidat populiste ou le . "


- Verbe - ÉCONOMIE-Finance | POLITIQUE-Élection | ÉCONOMIE-Industrie - Position médiale - Emprunt, Morphosémantique - 20/04/2017 - La Tribune - AUTEUR NON IDENTIFIÉ - Lien -
Contexte : "Selon le Financial Times , les marchés pricent à 11 % la possibilité d' un second tour Le Pen-Mélenchon , le scénario considéré comme plus inquiétant pour les investisseurs , mais à 13 % la possibilité qu' aucun des deux candidats ne soient au second tour . Donc non . Le marché ne price pas de scénario catastrophe . C' est particulièrement visible sur les taux de la dette française qui ont glissé et se traitent ce matin autour des 0.90 % alors qu' ils avaient largement dépassé les 1 % il y a quelques semaines . Et c' est peut être ce calme relatif sur la dette française qui"